Autres autres jeux

Je les ai fait en MP, c'est une bonne idée  

J'essayerai de le faire demain, je suis crevée

Moi pareil , mes enfants et petits enfants partent d'ici , je vais décompresser un peu , on verra demain mais plutôt vendredi

Je cherche.. Il en manque 3

ben ce ne sera pas ce soir, je n'y arrive pas , j'ai le cerveau au ralenti

Si ce jeu "Anagrammes" plait, j’alternerais avec le Bac, la dictée et à voir le rébus     

J'aime bien les anagrammes mais pas trop les rébus ..enfin , je suivrais le mouvement si d'autres aiment bien les rébus

C'est pas non plus trop mon truc   

Il m'en manque 2 :1 et 7 depuis hier pas moyen... Il faut te donner les réponses Valérie ?

Non c'est simplement pour faire partager ce que je trouve et que vous me donniez votre avis.

J'aime bien les deux

A venir

@ Mijo : 1 : ça aide à faire monter la pâte , 7 : dans une chanson populaire il dort

10 fautes à trouver dans ces 4 textes. Vos réponses en MP.

La violence sur les animaux a été tellement banalisée au cours des siécles qu'elle n'était pas considérée par la majorité des gens comme une violence, la doxat parlait de spectacle pour désigner la corrida ou encore pour les cirques avec animaux, d'élevage pour l'industrie productiviste et concentrationnaire, de recherches scientifiques par le Téléthon, et de loisirs par le monde de la chasse... l'information du public par les militants animalistes, l'éveil des consciences est en train de remettre les choses dans leur contexte et de changer le regard des gens sur les tortures, les atrocités, trop longtemps mal connues, tolérées ou cachées !

Guillaume Prevel




«Pour un peu de chair, nous leur ôtons la vie, le soleil, la lumière et le cours d'une vie préfixé par la nature : et nous pensons que les cris qu'ils jettent de peur ne sont point articulés, qu'ils ne signifient rien, là où ce ne sont que prières, supplications et justifications de chacune de ces pauvres bêtes qui gémissent.(...) Regardons-nous comme indifférente la perte d'une âme ? Je veux que ce ne soit pas, comme le croit Empédocle, celle d'un père, d'une mère, d'un fils ou d'un ami ; c'est toujours celle d'un être qui sent, qui voit et qui entend, qui a de l'imagination et de l'intelligence, facultés que chaque animal a reçu de la nature pour se procurer ce qui lui convient et éviter ce qui peut lui nuire.» Plutarque



L’amour des bêtes (Extrait) Emile Zola

Pourquoi la rencontre d'un chien perdu, dans une de nos rues tumultueuses, me donne-t-elle une secousse au coeur ?

Pourquoi la vue de cette bête, allant et venant, flairant le monde, effarée, visiblement désespérée de ne pas retrouver son maître, me cause-t-elle une pitié si pleine d'angoisse, qu'une telle rencontre me gate absolument une promenade ?

Pourquoi, jusqu'au soir, jusqu'au lendemain, le souvenir de ce chien perdu me hante-t-il d'une sorte de désespérence, me revient-il sans cesse en un élancement de fraternel compassion, dans le souci de savoir ce qu'il fait, où il est, si on l'a recueillit, s'il mange, s'il n'est pas à greloter au coin de quelque borne ?

Pourquoi ai-je ainsi, au fond de ma mémoire, de grandes tristesses qui s'y réveillent parfois, des chiens sans maître, rencontrés il y a dix ans, il y a vingt ans, et qui sont restés en moi comme la souffrance même du pauvre être qui ne peut parler et que son travail, dans nos villes, ne peut nourrir?

Pourquoi la souffrance d'une bête me bouleverse-t-elle ainsi? Pourquoi ne puis-je supporter l'idée qu'une bête souffre, au point de me relever la nuit, l'hiver, pour m'assurer que mon chat a bien sa tasse d'eau ? Pourquoi toutes les bêtes de la création sont-elles mes petites parentes, pourquoi leur idée seule m'emplit-elle de miséricorde, de tolérance et de tendresse?

Pourquoi les bêtes sont-elles toutes de ma famille, comme les hommes, autant que les hommes ?

J'essaierai mais je ne suis pas très douée

10 fautes à trouver dans ces 4 textes. Vos réponses en MP.

La violence sur les animaux a été tellement banalisée au cours des siécles (siècles) qu'elle n'était pas considérée par la majorité des gens comme une violence, la doxat (doxa) parlait de spectacle pour désigner la corrida ou encore pour les cirques avec animaux, d'élevage pour l'industrie productiviste et concentrationnaire, de recherches scientifiques par le Téléthon, et de loisirs par le monde de la chasse... l'information du public par les militants animalistes, l'éveil des consciences est en train de remettre les choses dans leur contexte et de changer le regard des gens sur les tortures, les atrocités, trop longtemps mal connues, tolérées ou cachées !

Guillaume Prevel




«Pour un peu de chair, nous leur ôtons la vie, le soleil, la lumière et le cours d'une vie préfixé par la nature : et nous pensons que les cris qu'ils jettent de peur ne sont point articulés, qu'ils ne signifient rien, là où ce ne sont que prières, supplications et justifications de chacune de ces pauvres bêtes qui gémissent.(...) Regardons-nous comme indifférente la perte d'une âme ? Je veux que ce ne soit pas, comme le croit Empédocle, celle d'un père, d'une mère, d'un fils ou d'un ami ; c'est toujours celle d'un être qui sent, qui voit et qui entend, qui a de l'imagination et de l'intelligence, facultés que chaque animal a reçu (reçues) de la nature pour se procurer ce qui lui convient et éviter ce qui peut lui nuire.» Plutarque



L’amour des bêtes (Extrait) Emile Zola

Pourquoi la rencontre d'un chien perdu, dans une de nos rues tumultueuses, me donne-t-elle une secousse au coeur ?

Pourquoi la vue de cette bête, allant et venant, flairant le monde, effarée, visiblement désespérée de ne pas retrouver son maître, me cause-t-elle une pitié si pleine d'angoisse, qu'une telle rencontre me gate (gâte) absolument une promenade ?

Pourquoi, jusqu'au soir, jusqu'au lendemain, le souvenir de ce chien perdu me hante-t-il d'une sorte de désespérence (désespérance), me revient-il sans cesse en un élancement de fraternel (fraternelle) compassion, dans le souci de savoir ce qu'il fait, où il est, si on l'a recueillit (recueilli), s'il mange, s'il n'est pas à greloter (grelotter) au coin de quelque borne ?

Pourquoi ai-je ainsi, au fond de ma mémoire, de grandes tristesses qui s'y réveillent parfois, des chiens sans maître (maîtres), rencontrés il y a dix ans, il y a vingt ans, et qui sont restés en moi comme la souffrance même du pauvre être qui ne peut parler et que son travail, dans nos villes, ne peut nourrir?

Pourquoi la souffrance d'une bête me bouleverse-t-elle ainsi? Pourquoi ne puis-je supporter l'idée qu'une bête souffre, au point de me relever la nuit, l'hiver, pour m'assurer que mon chat a bien sa tasse d'eau ? Pourquoi toutes les bêtes de la création sont-elles mes petites parentes, pourquoi leur idée seule m'emplit-elle de miséricorde, de tolérance et de tendresse?

Pourquoi les bêtes sont-elles toutes de ma famille, comme les hommes, autant que les hommes ?

Merci pour le corrigé. En vérifiant mes réponses, j'ai vu que je me suis trompée 2 fois : préfixé :j'ai considéré que c'était la vie (le cours d'une vie) qui était préfixée et non le cours et j'ai corrigé au féminin.
L'autre erreur, c'est l'éternelle interrogation : faut-il mettre au singulier ou au pluriel les noms qui suivent "sans". Pour moi puisqu'il n'y a pas de maître, il ne devrait pas y avoir de S.
Mais la règle n'est pas claire et les auteurs font un peu ce qu'ils veulent

C'est juste une réflexion et absolument pas une contestation. J'ai fait 2 fautes, tant pis pour moi (et je ferai mieux la prochaine fois). Désolée pour l'association Rats Cailles.

Le Thème : Fleurs et Fruits - Grille complète : 2€

Vos réponses en MP.

Corrigé Dimanche prochain

Si vous ne voyez pas bien les textes de droite, il vous faut cliquer sur l'image.

Il ne faudrait pas que vous vous fiez à l'allure débonnaire de ceux qui ornent la couverture de votre mensuel de jeux préférés : une étude écossaise souligne que, tout calins qu'ils paraissent, les chats, loin d'être toujours d'innofensives boules de poils, restent par essence des prédateurs, à l'instar du lynx, du léopard ou de l'once tacheté. Quant on les croirait domestiquer, ces félins miniature conservent au tréfond d'eux-même leurs instincts belliqueux, qu'ils peuvent assouvir à vos dépends. Pour autant, pas question de psychotter : à ceux qui y seraient enclins, il suffirait de rappeler qu'en matière d'aggressivité, l'animal n'arrivera jamais à la maléole de l'homme, l'actualité le resasse chaque jour...
 

fiiez (au subjonctif, obligatoire après le tour impersonnel il faut, les verbes en -ier prennent deux « i » et non un seul aux deux premières personnes du pluriel ; c'est qu'il ne faudrait point le confondre avec l'indicatif !)
préféré (c'est du mensuel qu'il s'agit)
câlins
inoffensives
tachetée (le nom once est du féminin)
Quand on les croirait (on ne se sera pas laissé abuser par la liaison en [t])
domestiqués
miniatures (cet adjectif est variable)
tréfonds
d'eux-mêmes (même est ici adjectif et s'accorde avec le pronom auquel il est lié par un trait d'union)
dépens (de dépenser, et non de dépendre)
psychoter
agressivité
malléole
ressasse

J'ai raté toutes les dictées